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Penser un monde sans oppressions
Manifestation vers Bercy (ministère des finances) - Rendez-vous à 14h à la BNF
AG de grève juste après - 18h à la bourse du travail de République, 3 rue du chateau d’eau, métro république
Pour gagner sur nos revendications, il faut que la grève du 20 novembre ne soit pas une journée isolée...
Le 7 novembre, Najat Vallaud-Belkacem affirmait dans un communiqué de presse que des réponses sont apportées aux difficultés de la Seine-Saint-Denis et que le ministère fait des « efforts » améliorer la situation. Les « efforts » dont fait preuve le ministère pour améliorer la situation de ce département, totalement sinistré en matière d’éducation, qui se traduisent sur le terrain par l’austérité budgétaire et la pénurie de moyens, n’auront sans doute pas échappés aux enseignant-e-s du département.
Les enseignant-e-s de l’éducation prioritaire qui ont pris leur classe au-dessus des seuils à la rentrée la remercieront. Les enseignant-e-s des collèges, qui ont découvert que parmi les collègues présent-e-s à la rentrée, 30% sont des contractuel-le-s qui ne seront plus là l’année prochaine en feront de même. Les collègues et les élèves qui goûtent avec plaisir la fatigue des nouveaux rythmes et l’inégalité des animations proposées par les communes seront sans doute également très reconnaissant-e-s.. Les enseignant-e-s contractuel-les du premier degré, parachutés devant les classes hors cadre légal sont sans doute ravis de leur entrée dans le métier, de même que les stagiaires pour lesquels se multiplient les diysfonctionnements, à commencer par les retards de paiement de salaires. Les enseignant-e-s en REP +, à qui l’on promettait monts et merveilles, sont enchanté-e-s de décrouvrir que les moyens supplémentaires prévus n’existent pas. Les enseigants-e-s de lycées sont aussi ravi-e-s des effectifs partout entre 30 et 35 élèves par classe en LGT ou des horaires non respecté en LP.
Merci Madame la ministre !
Face à cette situation intolérable, des mobilisations émergent dans le département : pour obtenir un vrai plan d’urgence pour la Seine-Saint-Denis, il faut construire une mobilisation départementale d’ampleur, dont la grève du 20 novembre peut être un point de départ.
Et pour que cette journée ne reste pas isolée, il faut multiplier les AG, dans les établissements, les villes et être nombreux et nombreuses à l’AG départementale de grève pour porter les revendications !
SUD éducation revendique :
Rythmes
Précarité
Moyens
Education prioritaire