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Appels à la grève, manifestations, AGs
2013-14 Rythmes scolaires & loi Peillon
Le mardi 4 mars, 400 collègues étaient rassemblés devant l’Assemblée Nationale. Le rassemblement fut suivi d’une Assemblée générale de grève, en présence des
syndicats SUD, SNES, CGT, CNT, SNUEP, à laquelle ont participé
137 collègues, venus de 33 établissements du 93, ainsi que d’établissements du 92, du 95 et du 75. Cette AG a voté massivement la grève pour le jeudi 13 et appelé
à une nouvelle Assemblée générale ce même jour.
SUD Education soutient l’appel de l’AG, considérant que la lutte appartient à celles et ceux qui la mènent.
Pour renforcer cette dynamique, et obtenir satisfaction sur nos revendications, il faut renforcer la mobilisation par des tournées d’établissements voisins, participer à la journée de grève et de manifestation prévue le jeudi 13 mars, mais aussi participer à l’Assemblée générale organisée à 17h à l’Annexe de la Bourse du Travail de Paris. Plus nous serons nombreux-ses en Assemblée générale, plus celle-ci sera à même de prendre des décisions et de se donner les moyens de les appliquer, de manière à renforcer réellement la dynamique de mobilisation par la base.
Toutes et tous en :
> AG d’Etablissement pour voter la grève et vos revendications !
> grève et en manifestation le 13 mars : RDV à 14h à Saint-Michel
> AG de grévistes le 13 mars à 17h à l’annexe de la Bourse du Travail de Paris, au 85 rue Charlot, métro République
Les revendications de Sud sur les moyens, les statuts et l’éducation prioritaire
Baisse des seuils (18 en collège non ZEP, 16 en ZEP, 24 en lycée)
Des DHG à la hauteur des besoins de tous les établissements, sans déshabiller Pierre pour habiller Paul
1/9e de décharge supplémentaire pour tous les personnels de toute l’éducation prioritaire
Pas de contractualisation des moyens, pas de recrutement au profil, pas de chantage à la pédagogie du socle
Non à la réforme des statuts dans ces conditions, oui à une réforme qui reconnait toutes nos missions en plus de
l’enseignement, et tienne compte de ce temps de travail par un abaissement de la présence devant élèves (-3h)
Titularisation de tou-tes les précaires sans condition de nationalité ni de concours