JEUDI 12 AVRIL
MARCHE CONTRE LA LOI ORE
A CHAMPS-SUR-MARNE

RDV 12H00 DEVANT LE LYCEE RENÉE DESCARTES

4 Boulevard Copernic à Champs-sur-Marne – RER Noisy-Champs

DÉPART 12H30 EN DIRECTION DU CAMPUS DESCARTES

RASSEMBLEMENT ET PRISES DE PAROLE A 14H30

Devant le bâtiment Bois de l’Étang – 5 Rue Galilée - Campus Descartes

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE A 18H00

Amphi 2 – Bâtiment Rabelais – 5 Boulevard Descartes

https://paris.demosphere.eu/rv/61436

RÉFORME DU BAC ET SÉLECTION À L’UNIVERSITÉ
NON A LA LOI ORE ! NON AU TRI SOCIAL !

Assemblée commune des établissements du secondaire et du supérieur de Marne-la-Vallée

Les projets de loi en cours de réforme du baccalauréat et de sélection à l’université vont aggraver considérablement les inégalités déjà présentes dans l’enseignement : inégalités entre élèves et étudiant·e·s, entre lycées et entre universités. Le lycée à la carte et la sélection des élèves selon des critères injustes marquent la fin du baccalauréat comme diplôme national garantissant le droit à l’enseignement supérieur.

Bien plus qu’un changement de logiciel, ces réformes sont un projet de société. Elles renforcent la compétition et le tri social plutôt que de donner des moyens suffisants pour garantir une formation de qualité et ouverte à tou·te·s. Il a été demandé aux personnels des lycées et des universités de les mettre en œuvre dans la précipitation, sans aucuns moyens supplémentaires et alors qu’elles n’étaient pas encore votées, ce qui est tout simplement illégal.

Les remises en cause du droit à un enseignement de qualité pour tou·te·s ont toujours été vivement combattues. L’abrogation du projet de loi Peyrefitte a été une victoire importante de Mai 68. Le projet de loi Devaquet, en 1986, a lui aussi été retiré suite à des mobilisations massives et la mort de Malik Oussekine. Aujourd’hui, c’est à nous de défendre une éducation de qualité, plus égalitaire, plus ouverte !

Elèves et parents d’élèves, étudiants d’aujourd’hui, de demain et d’hier, personnels des lycées et des universités…ces projets de loi nous concernent tou·te·s !